Ondine
▽ messages. : 4▽ crédit. : /▽ age. : 30▽ points. : 0Date d'inscription : 22/04/2013
Sujet: Non. Ni de Psykokwac. Ni de Togepi. (a) 22.04.13 14:04 Ondine. ~ " Aussi, au moment où tu vas refermer cet ouvrage, lecteur, il faut que tu admettes cette éventualité: peut-être es-tu le héros d'une autre histoire, la tienne, qu'un lecteur lit dans un monde plus réel que le tien. " pseudo, prénom ▽ Ondine, ou BOL DE SOUPE. Gwendoline, aussi, mais je préfère que l'on m'appelle Gwen, entre nous. ,) age ▽ 19 ans. localisation ▽ Je me plains toujours, mais je vis à la campagne, lieu rêvé pour moi qui ait horreur de la ville. Bref. Au fin fond de la Gironde. groupe désiré (ecrivain ou lecteur ?) ▽ Écrivain. tes écrits. Ce n'est pas mon meilleur texte, mais je ne suis pas chez moi et c'est l'un des rares que j'ai dans ma boite mail, là. Bref, vous l'aurez compris, cela raconte l'histoire de la gamine, de Daisy. Un personnage de RP. Je pense que vous comprendrez le reste tout seul. Ce n'est pas mon texte favoris, mais j'aime la manière dont j'ai procédé pour l'histoire au moment où je l'ai écrite, il y a un an.Spoiler: Vous vous n'êtes jamais posé la question de savoir pourquoi les gens continuaient à faire des enfants alors que la fin du monde est proche, d'après certains dires ? Par pur égoïsme, peut-être. Ou alors est-ce de l'inconscience. Toujours est-il que maintenant que la fin du monde est là et que notre population commence sa renaissance d'une façon sanglante, beaucoup s'interrogent alors que les jeunes corps s'entassent. Moi également, je me questionne. J'aurai pu me rétracter. Vraiment. S'il l'avait fallu, je sais que j'aurai pu mettre ce préservatif et tout empêcher. Mais je n'ai rien fait. Et aujourd'hui, alors que la mort s'est relevée, je cherche encore des réponses. Et je ne trouve rien. J'ai sincèrement aimé la femme qui a mis ma fille au monde. De tout mon coeur. Les utopistes qui semblent encore croire que l'on ne s'éprend qu'une seule fois devront rapidement se reprendre. Surtout lorsque l'on rencontre mon ex-femme. On comprend pourquoi il faut aimer une seconde fois. Ce n'est pas un choix, mais une obligation. Ou vous étouffez, vous restez emprisonnée par son amour, par sa possessivité. Alors oui, il y a des fois où je regrette d'avoir été jeune. D'avoir été trop stupide pour ne pas avoir mis ce qui m'aurait empêché d'avoir une descendance. Avec elle. Mais elle avait un telle corps. Mon Dieu. Que plus aucunes pensées n'étaient vraiment cohérentes. Enfin, plus de pensées correctes. Et puis, l'amour y a fait beaucoup aussi. Je pense. Je le souhaite. Ou alors, je n'étais décidément pas responsable. Enfin, toujours étant que cette belle asiatique que j'avais réussi à mettre dans mon lit m'a pondu cette petite chose presque neuf mois plus tard. Sans rien me dire. Non pas que je ne l'avais pas croisé, mais disons que jusqu'à la limite du temps d'avortement, elle s'est bien gardé de me dire que j'étais le père. Elle a du penser que je resterai, de cette façon. Que je ne la quitterai pas une fois que je saurai. Elle a bien pensé. Être père sans être marié était quelque chose d'irrecevable pour mes propres parents. De plus, j'avais mes études et maintenant que la petite, cette Daisy, était là, je devais me montrer plus à la hauteur que ce que j'avais été à présent. En soit, pas bien compliqué. Un mariage éclair. Un appartement et la reprise de mes études de droit tout simplement. Alors que ma femme s'occupait de notre enfant sous l'oeil suspicieux de ma mère, qui ne faisait confiance à personne. Même pas à moi. Elle aussi avait vu juste. Daisy s'est révélée être une enfant adorable. Innocente, comme tous les gosses. Et gâtée par ses grand-parents qui n'attendaient pas aussi tôt d'avoir des petits-enfants, mais qui en étaient quand même bien content de pouvoir en profiter. La gamine aussi d'ailleurs, elle a bien profité d'eux. Elle avait tout compris. Absolument tout. Très maligne, j'en conviens. Elle me ressemblait de plus en plus en grandissant. J'ai craqué. J'ai également finis par lui pardonner toutes ses bêtises et lui offrir tout ce qu'elle voulait. Enfin, elle était tellement têtue, que c'était plus pour ne plus l'entendre réclamer que pour le reste. Enfin, au moins, elle, elle était plus supportable que sa génitrice. Une boule de jalousie. Un concentrée de possessivité. D'arrogance, peut-être aussi. L'amour que je lui vouais s'est rapidement mué en haine. Comme une traînée de poudre. Et que la petite me pardonne un jour, je l'ai rapidement traînée jusqu'à ses grand-parents pour qu'ils s'en occupent pendant que je remplissais les formulaires de divorce et de garde. Mon père a été d'ailleurs d'une grande aide, pour appuyer ma demande. Et c'est aussi lestement que j'ai quitté la maison dans laquelle j'avais élu domicile il y a cinq ans. Et que les ennuis ont vraiment commencé. Daisy s'acclimatait rapidement, où qu'elle aille. Alors être en compagnie de sa famille paternelle ne l'avait nullement dérangé. Elle commençait l'école primaire et c'est, ravie, que ma propre mère a commencé à la traiter comme sa propre fille. Sans me poser la question, mais à ce moment là, cela ne m'intéressait pas vraiment. La petite se portait bien. Ses cours aussi, bien que cela ne soit jamais quelque chose de vraiment compliqué à son âge, néanmoins elle avait encore quelques soucis de prononciation. Rien qui ne terrorise mes parents. Mais là où ça s'est avéré plus compliqué, cela a été à partir du moment où ma nouvelle ex-femme s'est mise à inonder mon portable de textos et de messages sur mon répondeur. Qu'elle attende ma fille devant l'école. Qu'elle cherche à tout pris à la garder près d'elle alors qu'elle ne sait même pas s'occuper d'elle-même. Ma fille ne disait rien. Bien-sûr, elle et son calme légendaire. Son indifférence face à sa mère. Parce qu'elle avait tout simplement compris que sa mère était un danger pour elle et c'est pour cela qu'elle ne l'encourageait pas. C'était ce qu'elle m'avait avoué un soir, alors que je m'étais affalé sur le canapé et qu'elle s'était assise sur mes genoux. Gentille gamine compréhensive. Avant, les gosses, c'était à peine si je les tolérais. A croire qu'avec elle, j'étais capable de faire une exception. Alors, j'ai fais comme elle. Comme Daisy. J'ai ignoré mon ex. Et j'ai avancé avec ma fille à mes côtés. Lui préservant son innocence, sa joie de vivre. D'une manière égoïste, oui. Mais c'était seulement grâce à cette petite que je m'en sortais sans aucun souci avec mon ex-femme. Je faisais en sorte qu'elle soit aussi responsable. Qu'elle ne me ressemble pas trop non plus. Je ne lui ai jamais dit que ce n'était pas une enfant désirée. Car ce n'est pas quelque chose que tu déclares à un enfant. Et qu'aujourd'hui, ce n'était plus le cas. J'aimais cette petite. Ma vie sans elle serait un cauchemar. Et comment effacer ce sourire fière qu'elle avait lorsqu'elle me montrait ses progrès de lecture ? Ou ces yeux émerveillés qu'elle avait lorsqu'elle parlait de Disneyland ? Daisy était mon cadeau. Ma rédemption. Et vint cette année 2012. Ces rumeurs. Ces histoires. Nous pensions que nous allions exploser. Mais ce fut pire. Bien pire. Nous n'avons jamais réellement su qui avait été le premier. Cela s'est propagé beaucoup trop rapidement, on n'a rien vu venir. Nous avons tous été pris au dépourvu. Puis les images à la télévision ont laissé place aux parasites. Et c'est là que nous avons compris. Je me suis précipité pour remplir des sacs avec de la nourriture et des choses de premières nécessités avant d'enfouir des vêtements à Daisy et moi dans des valises. Et de quitter la maison aussi vite que nous le pouvions. Ce que nous avions pris pour une simple épidémie était en réalité bien pire. Je n'ai pas été le seul à le réaliser, ai-je constaté en voyant le nombre de voitures sur la route. À la demande de ma fille, j'ai roulé jusqu'à l'appartement de mon ex-femme. Après avoir donné les consignes de sécurité à ma fille, je suis rapidement descendu de la voiture et j'ai monté quatre à quatre les escaliers jusqu'à son numéro. J'ai entendu retentir la sonnette dans tout l'étage alors que j'appuyais frénétiquement dessus. "Liam ? " Maria était apparue, chaudement vêtue. Nullement inquiète de ce qui se tramait à l'extérieur. "Je t'emmène Maria. Prépare tes affaires, vite ! " "De quoi tu p... " "Écoute, Maria , commençais-je en lui coupant la parole, je vais être très clair. Si Daisy ne t'avait pas demandé, je t'aurai volontiers laisser croupir dans cet appartement misérable. Mais puisqu'elle l'a fait, je veux que tu me promettes de ne rien faire d’insensé, de t'occuper de notre fille et de toujours m'obéir quoique je dise. Tu comprends ? " "Mais Liam... " "Bon Dieu, tu n'as pas remarqué ce qui se passe dehors ?! Ai-je hurlé. Les gens meurent, Maria ! Avant de revenir à la vie comme des Zombies ! Je refuse que ma fille attrape cette saloperie ! Je refuse de la voir devenir ces choses ! Alors je pars. Et si tu ne veux pas me suivre, bien t'en fasse, je n'en ai rien à faire. " Maria se raidit. Avant de se retourner mécaniquement et de mettre des affaires dans des poches. Agacé qu'elle mette autant de temps, je lui ai tout arraché des mains et je lui ai demandé de se préparer puis de descendre. Ainsi fait, une fois à la voiture, je me suis tourné vers elle. "Ma promesse, Maria. " Son regard s'accrocha à mon visage, perdue avant qu'elle ne baisse la tête et dit d'une voix proche d'un murmure: "Oui, je te le promet Liam. " Je l'ai fixé un instant avant de me rendre chez mes parents. J'avais bien cherché à les joindre, mais sans réel succès et ce n'est qu'une fois arrivé à la ville que j'ai compris pourquoi. Elle avait déjà été envahi. À ce moment-là, c'est mon ex-femme qui a repris le volant tandis que j'étais derrière et que je serrais ma fille dans mes bras. Elle ne comprenait pas, bien-sûr. Elle était trop jeune, elle n'avait pas à voir cela. Nous avons roulé. Volé. Roulé. Nous nous arrêtions que peu fréquemment. Nous ne savions pas ce que nous cherchions réellement. Tour à tour, Maria et moi montions la garde avec un fusil que j'avais trouvé dans une maison abandonné. Nous avions vite saisi que nos couteaux étaient inefficaces. Hormis si nous visions la tête. Constations que nous nous sommes faites après avoir vidé un chargeur sur l'un d'entre eux. Je n'avais aucun remord. Je faisais cela pour les protéger toutes les deux. Maria, elle, priait pour ces âmes à qui nous enlevions la vie. Cependant, elle faisait aussi ce que je lui vais demandé. Elle s'occupait de Daisy, comme une mère de son enfant. Elle lui cachait les yeux lorsqu'un zombie arrivait, la bordait le soir. Cette invasion lui avait donné la maturité qui lui manquait. Sans pour autant la changer dans ses sentiments. La repousser continuellement devenait pesant. Je n'avais pas envie d'elle. Pas plus que d'une autre. Je voulais juste survivre. Continuer de voir ma fille sourire, et rien d'autre. Daisy, elle, restait un soleil. Innocente, enthousiaste. Elle était devenue moins capricieuse, sans pour autant changer dans sa manière d'être. Maria trouvait cela surprenant. Moi, je savais que c'était seulement grâce à nos efforts pour qu'elle ne voit pas les zombies. Ni les morts. Elle ne se doutait de rien. Et bien que je sache la gravité de la chose, je ne voulais pas qu'elle le sache maintenant. Je voulais qu'elle grandisse à son rythme. Je n'avais aucun droit de lui arracher ce qui fait d'elle un enfant. Mais toutes les choses ont une fin. Même si elle est atroce. Alors que je repense à ma fille, à ma vie, à cette saleté d'irresponsabilité que j'ai eu d'avoir un gosse et de lui faire subir ça aujourd'hui, je ne peux m'empêcher de dire que j'ai eu de la chance. D'une certaine façon. Je ne serai pas comme eux. Je n'aurai qu'une vie. Qu'une mort. Pas de cannibalisme. Il me fallait juste cette balle en pleine tête. Tournant la tête pour voir mon ex-femme en-train de s'éloigner avec Daisy dans mes bras, j’espérai qu'elle continuerait à s'occuper d'elle malgré mon absence. Ces derniers mois, malgré un attachement certain, elle n'avait pas fait preuve d'un très grand amour maternel envers sa fille. Néanmoins, j’espérai. Je voulais partir le cœur léger. Ne pas penser aux adieux de ma fille que je n'aurai jamais. Elle ne saura que trop tard ce qui va m'arriver. Et c'est le mieux. "Un dernier mot ? " "Tu vas vraiment les amener à ce groupe de gens ? Elles vont pouvoir être en sécurité ? " "Je ferai mon possible Liam. J'étais là en éclaireur, à la recherche de médicaments. J'ai eu de la chance de vous trouver. L'homme grimaça lorsque son regard s'attarda sur ma main. Désolé. J'aurai pu arriver plus tôt et t'empêc... " "Non. Assénai-je en balayant ses excuses de ma main valide. Tu as sauvé deux personnes aujourd'hui et il y aura un zombie de moins en ville. " Je le vis se mordre la lèvre inférieure. Mon explication ne tenait pas la route, bien-sûr. Mais je ne voulais pas qu'il regrette alors que lui et son groupe allaient les accepter. "Fais ça vite, s'il te plaît. Et dit à ma fille que je l'aime, pour moi. " Il hocha la tête, se retenant de critiquer la manière dont j'avais éduqué ma fille. Nos yeux se rencontrèrent et l'arme fut pointée sur moi. Le noir. Puis plus rien.
Texte plus récent, écrit également pour un forum RPG. (je n'ai vraiment pas mieux, là et ni plus récent. Faudra que je fasse un tour sur mon ordi' pour voir ce que j'ai :O *Est sur l'ordi' de la Fac ~>*) Bref. Celui-ci est basé sur un contexte un peu dans le même style que le Seigneur des anneaux. Je l'ai écrit il y a moins d'un mois.Spoiler: Mon passé, même étayé, ne serait pas aussi élogieux que celui des elfes, qui ont quant à eux, une vie remplie, à leur mesure. Loin de moi l'idée de les dénigrer, je les respecte. J'admire leur fore et leur charisme ou bien même leur agilité. Ils ont des prédispositions que bien des hommes ont espérer acquérir quitte à garder l'espoir en oubliant de vivre. Non, mon histoire s'est faite en toute simplicité, sans grand évènement, sans guerre. Non, seule la tranquillité s'éternisait, comme un pressentiment d'un futur désagréable. Il n'est jamais bon de vivre sans souci car cela n'augure qu'un lendemain plus obscure. J'ai mené une vie paisible en compagnie de mes parents dans une ville du nom d'Eador. Nous n'étions pas dénués de sous, mais pour autant, nous ne faisions pas partis de la classe plus noble qui existait déjà au sein de la cité. Nous vivions entre nous, entre les hommes, mais aussi en compagnie des semi-Elfes, des elfes, plus rarement. Nous avons réussi à nous élever grâce au travail de gardien de mon père, mais également au métier de chanteuse de ma mère, divertissant les hommes dans une auberge. Quant à moi, je me complaisais dans la confection de quelques parures, lorsque ma mère me ramenait des tissus ou alors je partais bavarder en compagnie de mes amis dans des salles de la ville. C'est d'ailleurs à l'une de ses soirées que je l'ai rencontré: Loryn Súrion. Aristocrate, charmeur et bon vivant étaient ce qui faisait de lui quelqu'un d'apprécié. Quelqu'un dont on pouvait facilement s'éprendre. Quelqu'un dont je suis tombée éperdument amoureuse. Que cela soit réciproque ne pouvait être qu'une chose inimaginable. A croire que même l’inimaginable se réalise. Il n'avait cure de la situation sociale de mes parents, cela ne le dérangeait guère. Il me voulait moi, disait-il, et non pas la "richesse" de mes parents. Futiles paroles, j'ai eu la malheureuse idée de me laisser bercer par ces discours. Il ne souhaitait pas m'expliquer pourquoi certaines personnes se rendaient à l'aube à notre porte. Je vivais, manifestement, bien mieux qu'auparavant, recevant souvent quelques cadeaux de la part de mon époux, continuant mes confections et trouvant même plaisir à faire des bouquets de fleurs. Néanmoins, comme je l'avais précédemment expliqué. Un bonheur ne dure jamais. En premier lieu, il y a eu nos essais sans cesse infructueux d'avoir des enfants. Chaque échec me poussait davantage à fuir ses caresses, de peur de voir de nouveau la déception se dessinait dans son regard. Ensuite, il y a eu le décès de mon père dû à une chute du haut de sa tour. Mon mari et moi avons du accueillir ma mère dans nos murs afin de l'aider à surmonter son deuil. Deuil dont elle ne s'est jamais remise, par ailleurs. Elle continue sans cesse d'errer dans la maison, parlant par monosyllabe, ne mangeant qu'à peine. Aucun de nos efforts pour lui rendre la vie plus facile ne nous mena à un résultat concret. Aucun ne nous mena à un résultat tout court, en réalité. Avant que ce ne soit ma propre vie qui se résulte à un échec. Ce soir-là, c'est moi qui fut la première à le sentir. Fronçant le nez, j'avais jeté un regard à travers la porte, sans pouvoir comprendre ce qu'il se passait. Puis j'ai entendu les hurlements. de douleur. Un frisson a traversé ma colonne vertébrale. Affolée, j'ai vivement secoué Loryn. Papillonnant des yeux, il m'a demandé en marmonnant ce qu'il y avait. Et avant même que je ne réponde, de nouveaux cris retentissaient à l'étage inférieur. Désormais tout à fait réveillé, il m'a attrapé la main et à ouvert la porte. Le feu. Déjà il s'attaquait à notre étage, déjà il allait nous atteindre, léchant le bois, insatiable. Me tirant de nouveau la main, il a refermé la porte et a commencé à joindre les draps de notre lit par des noeuds serrés. Sortant de ma torpeur, je me suis précipitée pour l'y aider avant d'ouvrir la fenêtre. C'est à ce moment là que j'ai réalisé que ma mère était encore dans sa chambre, celle qui jouxtait la notre. Loryn m'a promis d'aller la chercher une fois que je serai en bas, une fois que je serai éloignée du danger. Une fois les pieds à terre, j'ai attendu. Attendu. Inlassablement. Ils ne sont jamais revenus. La maison s'est effondrée sous mes yeux dans un déluge de flammes. C'est une fois déclaré mort que la vérité se fit. En réalité, Loryn était ruiné depuis bien longtemps. Il subsistait avec des crédits et sa notoriété ainsi qu'à l'aide de ses amis. Toutes les économies que mes parents avaient accumulées avaient été dilapidées dans le règlement des dettes de mon défunt mari. Et cela n'a même pas suffit. Endettée, endeuillée, amputée de ce que j'avais jadis été, humiliée. Voilà ce que je suis à présent. Le bonheur est éphémère. Voilà le début de mon infortune.
parce que nous on veut en savoir plus... Plutôt ...J.K Rowling ou Pierre Bottero ? ▽ En toute honnêteté, je ne supporte pas les personnages de Pierre, ni les histoires, ni beaucoup de choses. Il y a pourtant une chose pour lequel je l'estime beaucoup: sa manière de décrire les villes, ce qui les rend si réelles. Néanmoins, mon choix se porte vers J.K pour la simple et bonne raison que je l'ai connu quand j'avais 11 ans. C'est elle qui m'a donné envie de lire, d'écrire, de tout. J.K, c'est un pan de mon adolescence, c'est aussi l'une de mes auteurs favoris.Arthur Rimbaud ou Victor Hugo ? ▽ Alors, si je n'avais jamais été littéraire, j'aurai sauté la question. Cependant, on m'a laissé le choix au lycée, et j'ai porté ma décision sur la première L aux dépends de la filière scientifique. Bref. Je n'ai pas vraiment de souvenir de poésie de Rimbaud, au contraire de Victor. En ce qui concerne ce dernier, j'aime particulièrement "La Mors" et... "Demain, dès l'aube". ces poésies ont été un réel coup de cœur au lycée.Emile Zola ou Honoré de Balzac ? ▽ Aucun des deux ne m'a véritablement intéressé.Molière ou Alfred de Musset ? ▽ Molière, sans conteste.George Orwell ou Oscar Wilde ? ▽ Orwell.Anna Gavalda ou Amelie Nothomb ? ▽ Aucune des deux.Roman d'amour ou roman d'aventure ? ▽ Tout dépend de la complexité de l'histoire. Si c'est une histoire d'amour pour une histoire d'amour -mièvre en plus-, très peu pour moi. Les deux genres ne font pas partis de mes préférés, après... Si l'histoire est originale, structurée et inattendue, alors bien-sûr, je prends.Monde réel ou imaginaire ? ▽ J'apprécie les deux. ~ Le nom de ton futur best-seller serait : [ ] la fiancé du pianiste. [ ] la destinée de l'assassin. [ ] le son du paradis. [ ] l'itinéraire d'une héroïne. [ ] le confident d'un dictateur. [X] le pacte des songes. ~ tu écris plutôt... [ ] des poèmes. [X] des/un roman(s). [X] des nouvelles. [X] des fanfictions. [ ] des pièces de théâtre. pour finir. comment as-tu fait pour atterrir ici ? ▽ Bazzart. ♥ pourquoi t'es-tu inscrit(e) sur le forum ▽ Pour la communauté. J'aime m'inscrire sur des forums d'écriture, ça m'enrichit énormément et ça me permet d'apprendre certaines choses, également. tes impressions ? ▽ Comment pourrais-je e avoir, je ne suis ici que depuis une heure et je n'ai même pas parcouru entièrement le forum ? :33. decris nous ton rapport, & ce que tu penses, de l'écriture ▽ Mon rapport avec l'écriture. C'est... Chronique. J'ai mes périodes. Je peux parfois écrire sans discontinue, pendant des jours et des jours et ne plus écrire durant plusieurs mois. En mettant de côté le travail des forums, je n'écris qu'épisodiquement en ce moment. Mais je pense que cela va me reprendre dès la fin des partiels. L'écriture est pour moi un moyen d'expression libérateur et inversement, psychologique. Durant mes périodes sombres, cela me permettait plus de me blasphémer qu'autre chose (Et c'est à ces moments que mes textes étaient les plus beaux selon moi), mais hors période, quand je ne suis pas sur mes histoires, cela me permet d'écrire sur des sujets d'actualité, tels que l'écologie (Un de mes sujet d'écriture favoris), les "problèmes" des ménages (Disputes, Maltraitance, ect) et j'en passe. ton auteur favori ▽ Mes. J.K Rowling, comme dit plus haut, Bernard Werber, dont j'apprécie énormément les livres que je trouve très riche, Lauren Oliver, que je connais depuis plusieurs années et qui a enfin obtenu la reconnaissance et la célébrité qu'elle mérite et Isaac Asimov. (Jane austen aussi, à mes heures perdues) le dernier livre que tu as lu ▽ "Alors Belka, tu n'aboies plus ?" Livre japonais sur l'utilisation des chiens durant la deuxième guerre-mondiale et toutes celles qui suivront. C'est un style d'écriture... Très particulier. Un livre dans lequel il faut vraiment être concentré. Mais assez intéressant en somme.
Dernière édition par Ondine le 22.04.13 14:51, édité 1 fois