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Une mademoiselle arrive :)

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Une mademoiselle arrive :) Empty
MessageSujet: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime17.01.12 10:17


Une mademoiselle arrive :) Zn36vm

Mademoiselle Xina

pseudo, prénom ▽ Capucine ou Mademoiselle Xina
age ▽ 18 ans
localisation ▽ Prés de Paris
groupe désiré ▽ écrivains passionnés

tes écrits.

Alors j'écris surtout des rp's à vrai dire, quelques OS, mais moins. Donc voici déjà quelques rp's et un OS.


RP 1-

« - Un deux trois quatre, un deux trois quatre, un deux trois quatre, bien… Continue ainsi ma princesse tu es parfaite. »

Le visage penché, concentrée sur ses pieds, la jeune fille essaie d’imiter au mieux les pas de son frère. Ce n’est malheureusement pas chose aisé et elle a cessé de compter le nombre de fois où elle lui a marché sur les pieds. Du bout des doigts le jeune homme lui révèle le visage et lui adresse un sourire mutin. Les joues de la demoiselle prirent la teinte des roses rouges sangs que leurs pas effleurent. Il ne les retire pas, au contraire, sa main attire le visage de la demoiselle vers le sien. Elle essaie sans grande conviction de se retirer. Leurs lèvres s’unissent doucement tout d’abord, avec une certaine hésitation, une peur du châtiment divin et puis le baiser s’approfondis. Les cœurs s’emballent. Une main fiévreuse dénude une de ses blanches épaules. Elle le repousse, dans son regard il y a une petite lueur terrifiée. Il est blessé. Il ne voulait pas. Il lui tend doucement la main en signe de réconciliation, elle baisse honteuse la tête. Ce n’est pas de lui qu’elle a peur, ce serait plutôt d’elle et ses sentiments honteux. Leur mère leur avait toujours dit qu’il n’y avait rien de honteux dans l’amour, pourtant son cœur de mère fut brisé quand elle vit ses enfants briser le tabou. Elle dû tout oublier pour supporter que ceux à qui elle avait donné la vie avaient osé. Ania tremble dans ses bras, elle a peur, pourtant elle se sent bien. Elle ferme les yeux. Elle se laisse emporter par la danse qui a repris. Ils ne suivent plus la musique, mais c’est sans importance. La chose qui compte et d’être avec l’autre.

La scène disparait peu à peu, les couleurs s’effilochent et deviennent ternes. Elle ouvre doucement les yeux. La lettre, voilà la seule chose qu’elle a dans son esprit. Ce mensonge qui n’est venu que pour briser son cœur une nouvelle fois. On a su, on a voulu la punir. Elle ne prononce pas un mot, du moins pas tout de suite, ses yeux fixent le ciel grisâtre. Elle a froid, du moins elle le croit, elle n’en est pas certaine. Des larmes roulent sur ses joues. Cette lettre… Tout ceci n’est qu’un mensonge. Pourtant. Pourtant les tournures, l’écriture, les défauts d’expressions, elle connait tout cela. Elle connait cette écriture tremblotante que l’on assimile plus à un enfant de cinq ans. Elle connait chaque rater. Alors. Alors comment cela se fait-il ? Elle ne comprend pas. Elle n’arrive pas à comprendre. Deux regards se croisent, brusquement. Les pensées d’Ania s’envolent avec le vent. Elle sourit doucement, elle a toujours apprécié Caithlyn. Elle ne l’avait pas vu, perdue dans ses pensées, dans son monde imaginaire, elle avait à nouveau fait abstraction de la réalité.

« - Que s’est-il passé ? »

Enfin elle se décide à demander. D’une voix maladroite, incertaine, elle ne sait pas encore prononcer correctement les mots. Un fort accent russe ressort de ces quelques mots. Toutefois elle n’y prête aucune attention, son esprit est déjà partit ailleurs, loin de tout, loin de tout ça. Il est repartit à nouveau dans son monde imaginaire. Les pétales enflammés dansent devant ses yeux et pourtant tout ceci n’est qu’illusion. Il n’y a plus de lettre, il n’y a plus que ses cendres maintenant, des cendres qui se sont éparpillées aux envies du vent. Elle a disparu, de la surface de la terre. Il vaut mieux que cela soit ainsi, il vaut mieux que cela soit ainsi pour tout le monde. Leur relation n’est pas correct, elle est immorale.

« - Désolée. »

Elle ne sait pas auprès de qui elle s’excuse. Auprès de sa mère ? A moins que ce soit de son frère ? Ou tout simplement auprès de la gryffondor. Un sourire amusé se dessine sur ses lèvres malgré elle, bien qu’il soit plus un sourire mécanique, une certaine sincérité est présente. Une gryffondor aidant une serpentarde, un comble… Elle essaie de se relever, tout ses muscles lui font payer de s’être laisser charmer par la plante. Elle se souvient. Ce ne sont que des bribes, mais elle se souvient. Cette douleur atroce présente dans la poitrine. Cette manière de perdre le contrôle de soit, d’être prête à tout pour l’avoir. Cette façon de le rejeter pour ne que mieux l’aimer. Elle n’a pas le droit, alors elle a voulu disparaitre. Elle n’a pas pu. Elle en veut à la gryffondor pour cela. Elle a fait ressurgir cette douleur. Une lueur de colère apparait dans les yeux de la demoiselle, elle n’arrive pas à la chasser. Comment voulez-vous contrôler vos sentiments ? Surtout vos passions ? Elle a honte, elle a honte d’être en colère contre Caithlyn pourtant cela ne change rien. Elle lui en veut, pourquoi… Elle veut lui demander, mais elle n’ose pas. Alors elle ferme les yeux pour que Caithlyn ne voie pas sa colère. Cette idée est complètement stupide, elle le sait, pourtant elle le fait.


RP 2 -



« Hush, little baby,don't say a word,
Papa's gonna buy you a mockingbird. »

Des doigts fins caressent la peau d’un petit nourrisson, sa voix chantonne d’une voix maladroite. Ses cheveux d’ébène retombe sur son visage fatigué, ses traits sont tirés, ses yeux sont rouges, elle a encore une fois pleuré. Son mari est parti, le jeu n’a pas cessé de continuer après leur mariage, aucun des deux refusent de perdre, de s’avouer vaincu. Alors elle ment à leur petite fille. Elle n’a que quelques mois, mais elle est obligée déjà de lui mentir. Elle ne veut pas qu’elle pense que son père soit un parfait connard. C’est vrai… Mais c’est sa punition à elle.

« Nous sommes réunis en ce jour pour l’enterrement d’Ana Emilie Howard. »

Les parapluies se soulèvent, le ciel pleure la disparition de son enfant la plus chère. Elle avait prié pour lui, elle s’était repentie, elle avait subit avec dignité. Elle n’avait pas versé une seule larme face aux épreuves qu’on lui affligeait. Quand son père qui aujourd’hui se tenait si digne la battait elle ne pleurait pas. Quand sa mère qui aujourd’hui verse enfin quelques larmes pour son enfant qu’elle a abandonné parmi les bonnes sœurs elle n'a pas pleuré. Quand son frère qui aujourd’hui se dit qu’il aurait dû montrer un peu plus d’intérêt pour sa sœur a qu’il a tout volé sans s’en rendre compte elle n'a pas non plus pleuré. Non, elle n’a jamais pleuré pour eux. Elle a simplement pleuré pour un homme.

« And if that mockingbird don't sing,
Papa's gonna buy you a diamond ring. »

Quelques larmes percent ses yeux, sa mère ne lui avait jamais chanté de telle chanson. Cela n’était pas digne d’une sang pure selon elle. La première fois qu’il lui avait chanté cette chanson c’était quand elle était alité à l’hôpital après avoir bu ce poison pour mourir définitivement. Il ne l’a pas laissée faire, il l’avait sauvée. Il venait chaque jour la voir, se montrant d’une tendresse dont elle se moquait chaque fois, le traitant comme à son habitude de demi-sang de bourbe. Lui énumérant les raisons pour laquelle ils ne pouvaient être ensemble. Pourtant il revenait, chaque jour, car il savait qu’elle se calmait seulement quand il lui attrapait la main et l’empêchée de trembler. Raison 1 : nos deux prénoms commencent par un A, cela fait A.A. et si on est ensemble les gens diront tient voilà les A.A. et bon ca risque de nuir à ma réputation si on pense que je suis une A.A Pourtant il revenait, chaque jour, car il savait qu’elle ne pouvait dormir que quand il lui chantait cette chanson. Raison 20 et la dernière : Parce que tu m'as oublié. Pourtant il revenait, chaque jour, car il savait que la raison 20 était fausse.

« Ana Howard était la meilleure jeune femme dont j’ai dû à m’occuper, généreuse, admirable, elle était digne en toute circonstance. Je ne comprends pas comment un tel accident est pu arriver. »

Elle lâche du bout des lèvres le mot accident. Discours pleins de mièvreries et d’hypocrisie, on essai de cacher comme on peut cet… accident, puisque que c’est comme cela qu’ils veulent dire que c’est un accident. On refuse de savoir ce qui l’a poussé elle, pourtant n’avait-elle pas tout ? L’argent, la gloire, tout le monde l’admirait, tout le monde la connaissait. Le rire d’Ana éclate dans les airs, se moquant de cela. Tout ceci n’était rien pour elle, qu’un désir d’essayer de combler le vide en elle. Elle n’a jamais rit. Cela personne ne le sait. Elle n’a sourit qu’à une seule personne. Cela personne ne le sait. De toute façon tout le monde s’en fout d’Ana. On écoute d’une oreille distraite les discours onctueux. On essai de bien se faire voir. On grommelle à demi mot contre cette idée saugrenue de vouloir se faire enterrée dans un cimetière moldue. Beaucoup ne sont pas venus à cause de cela. Mais pour la mère supérieur de ce couvent, c’est un miracle que la petite fille qu’elle a élevé fut tant aimée. Elle avait toujours eut peur qu’elle finisse sa vie seule. Si seulement elle savait.

« And if that diamond ring turn brass,
Papa's gonna buy you a looking glass. »

C’était une jolie bague en diamant, elle s’en souvient très bien. Il l’avait piqué après la sortie de l’hôpital à une femme mariée. Qu’ils étaient agaçant c’est deux là, tout le monde disait qu’ils formaient un magnifique couple, que rien ne pourrait les briser. Elle était jalouse, alors elle a voulu briser leur bonheur. Il lui a ramené la bague de cette femme. C’est une bien belle bague, mais sur elle, cela la boudinait. Alors que sur la jolie brune. Elle pose un regard de fierté dessus. Cela ne l’a pas rendu plus fidèle. Il y avait 20 raisons. 20 raisons qu’elle aimait répéter, ce jour là elle avait rajouté une vingt unième raison, parce qu’il ne lui avait jamais offert de bague. Alors il l’a fait, il lui a offert cette bague. Elle avait déclaré qu’alors elle devait en trouver une nouvelle et dit qu’ils ne pouvaient pas s’aimaient, car il ne l’avait jamais demandé en mariage. Alors il l’a fait, il le lui a demandé. Elle a dit oui. De sa façon froide et distante, mais elle n’a toujours pas trouvé de vingt unième raison.

« Je crois qu’Ana aimait un homme. Cet amour la détruisait, elle venait se confesser chaque fois auprès de moi. Elle s’en voulait de l’aimer. Elle disait que c’était mal. Mais non… aimer, ce n’est jamais mal, pas comme elle aimait elle. Elle aimait de la façon la plus pure qui soit. »

La voix du prêtre se brise, il a de plus en plus de mal à pleurer derrière ses sanglots. On lui jette des regards méprisants, des paroles haineuses. Par sa faute l’enterrement à dû se faire la nuit, la lumière du jour le tuerait. Il n’y prête aucune attention, il devait bien un dernier hommage à cette belle créature qui lui avait fait découvrir un amour autre que celui de Dieu. Oh oui, il l’avait aimé d’un amour pur, il lui en avait voulu pour cela, il lui en avait voulu, car elle ne voyait rien. Tout à l’heure, quand il rouvrira son cercueil pour essayer de la transformer, qu’il éparpillera les pétales de roses blanches dans le vent. Tout à l’heure, quand son sang teintera en vain les lèvres de la belle morte en carmin. Tout à l’heure, il lui volera un baiser éternel. Leur premier baiser, leur dernier baiser. Mais Ana n’est pas la belle au bois dormant.

« And if that looking glass gets broke,
Papa's gonna buy you a billy goat. »

Elle se regarde dans le miroir avec une moue. Elle comprend maintenant les mots de sa mère, quand tu accouches tu veux que ce soit un garçon, sinon tu perds tout. Elle est difforme. On lui reproche de ne pas manger asse, qu’elle et l’enfant seront trop faibles. De toute façon on lui reproche d’avoir une ossature trop fragile. On lui reproche d’être tombée enceinte trop tôt. On lui reproche d’avoir fait un enfant à un sang mêlé. On lui reproche de ne pas s’énerver contre son mari qui va coucher avec des filles plus belles, plus jeunes, des filles qui ne sont pas enceintes. Elle jette le miroir par terre. C’est elle qui l’a défié, alors elle s’attend à quoi ? Elle pose un regard absent sur les éclats de miroir. Il va encore râler, elle aussi, ils vont finir par s’engueuler, puis s’embrasser et elle va se tirer. Comme d’habitude.

« La première fois que j’avais vu Ana, elle devait avoir quatre ans. Je me souviens très bien d’elle, c’était une petite fille brune que chaque chose émerveillée. Avec ses grands yeux noirs elle vous interrogeait du regard. Et puis je l’ai vu grandir, on l’a toutes vue grandir… Ana. Ana c’était notre petite fille à toutes, nous qui ne pouvions être mère, le bon Dieu nous a laissé Ana. »

Les personnes présentent étouffent quelques bâillements. La mère d’Ana serre son petit mouchoir et jette un regard haineux à la bonne sœur qui vient de l’accuser inconsciemment de mauvaise mère. Sa fille veut détruire jusqu’à la fin sa vie ? Déjà elle refuse le mariage qu’ils lui avaient proposé. Ensuite elle ose mourir de cette façon si indigne. Des rumeurs cours comme quoi elle se serait empoisonnée, à moitié nue dans l’appartement d’un homme. Elle aurait dû se douter que sa vie avait des pratiques sexuelles étranges. Cette fille n’était pas normale. Parfois elle se demandait si elle était vraiment son enfant. Elle donne un coup de coude discret à son maris et lui indique du regard d’aller parler lui aussi, leur réputation est jeu !

« And if that billy goat don't pull,
Papa's gonna buy you a cart and bull. »

Ce n’était pas vrai, il n’était rien allée acheter pour son enfant ce jour là. Probablement en train de courir les jupons, jouissant dans une femme alors qu’elle, les jambes écartées était en train de souffrir. Il est arrivé bien des heures plus tard, quand il s’est rendu compte qu’elle n’était pas chez eux. Il ne s’est même pas excusé, il n’a pas cherché de mensonge pour lui expliquer son retard. Il s’est contenté de poser le regard sur la petite chose qui gigotait dans ses bras. Elle était toute blanche et avait une touffe de cheveux blonds sur la tête. Tout le monde disait qu’elle était magnifique. Il n’a pas cherché à savoir comment elle s’appelait, il s’est simplement assis et lui a chanté la même berceuse qu’il lui avait chanté il y a des années. Non, il n’avait pas besoin de demander comment elle s’appelait, car il le savait déjà.

« Ana. Ana n’était pas un petit ange comme tout le monde semble vouloir le faire croire. C’était une fille têtue, indigne. Nous avons tous essayé pour la remettre dans le droit chemin, mais ce genre d’enfant, il faudrait les éliminer à la naissance, leur place n’est pas ce monde. »

Des murmures indignés s’élèvent dans la foule. Agnès murmure à sa voisine qu’elle avait pu un jour entrapercevoir sur le corps d’Ana des cicatrices et qu’elle se demandait si ce n’était pas son père qui la battait. L’homme jette un regard très dur à la foule et s’en va dignement, attrapant la main de sa femme, il l’entraine dans sa suite, loin de ce lieu de débauche selon lui. Il n’avait jamais voulu de fille, s’il l’avait laissée en vie ou ne l’avait pas abandonnée, ce n’était que par amour pour sa femme, en attendant qu’elle lui donne le fils qu’il attendait. Mais après il était trop tard pour éliminer la petite fille, alors ils l’ont abandonnée tout simplement. Comme quand on abandonne un chien sur le bord de la route. Ils ont même essayé de le faire un jour et ils ont réussit.

« And if that cart and bull turn over,
Papa's gonna buy you a dog named Rover. »

Le jeu n’avait pas cessé. Il ne cessera jamais. Cependant cela ne la dérangeait pas, cela était devenu sa seule occupation à part de s’occuper de leur fille. Depuis qu’elle avait arrêté de travailler, elle ne savait plus quoi faire, elle avait bien essayé de faire comme les voisines. Assister au club de lecture, participer au comité d’organisation du quartier, faire la cuisine pour son mari. Cependant elle détestait les romans d’amour, trop dégoulinant de bons sentiments à ses yeux, pour elle le comité était surtout le club des femmes au foyer et la dernière fois qu’elle avait essayé de faire des pâtes, elles avaient finit carbonisées. Elle avait essayé de faire comme les voisines, cependant ce genre d’activité ce n’est pas pour elle. Le jeu et sa fille se sont les seuls choses qui lui restent.

« Adieu mademoiselle Howard. »

Une petite fille blonde jette des fleurs des champs qu’elle a ramassés sur le chemin sur le cercueil qui s’enfonce lentement sous la terre. Des marguerites. Elle tremble, murmure quelques mots à sa mère et s’en va, laissant la place au suivant. Ils sont tous là. Tous ceux qu’on n’a pas jugés bon d’inviter dire un dernier mot d’adieu à Ana. Pourtant ils sont venus. Beaucoup ne la connaissait pas, certains on eut droit à un de ces faux sourires tout au plus. Pour eux, elle était, elle est et elle sera Ana Howard, une des plus grandes actrices du monde magique. Quand on lui disait ça, elle répondait d’une voix moqueuse que ce n’était pas difficile étant donné le nombre d’actrice. Elle répondait toujours ça, mais au fond cela la touchait. Sauf qu’elle ne le montrait pas, car quand elle montrait ses sentiments de nouvelles cicatrices apparaissaient sur son corps.

« And if that dog named Rover won't bark.
Papa's gonna to buy you and horse and cart. »

Beaucoup lui demandent si sa nouvelle vie lui plait. Elle est là, enfermée toute la journée, avec sa petite fille, vivant à son rythme. Ne laissant jamais le temps à son mari d’aller s’occuper de leur petite fille quand elle pleure en pleine nuit. De toute façon il n’y irait pas. A ceux là, elle ne répond rien et s’en va retourner dans sa petite vie. Ils ne peuvent pas comprendre. Elle a enfin trouvé le repos, son visage peut enfin s’animer. Elle n’est plus une poupée de porcelaine immobile, les yeux vides fixés dans le vague, toujours belle, se taisant, ne souriant jamais. Ils ne peuvent pas comprendre qu’elle commence simplement à vivre.

« Putin fait attention ! Le cercueil est en train de se casser la gueule ! En plus ch’crois que cette fille c’est une célébrité chez eux. Vont nous faire la peau si on la respecte pas ! »

Le cercueil tombe lourdement dans le trou, l’homme pousse un juron et jette un regard noir à son compagnon qui jette un rire gras. Pour lui un putin de cadavre, ça reste un putain de cadavre. Starlette ou pas, il en a rien à faire, cela pourrait être le pape, il la traiterait pas avec plus de respect. L’homme lui dit que le pape ne peut pas être une femme et qu’il est con. Son compagnon soulève les épaules et commence à jeter de la terre sur le cercueil. Dans le but d’enfermer Ana dans l’obscurité la plus totale. Elle qui avait peur du noir. Elle y sera éternellement maintenant.

« And if that horse and cart fall down,
Well you'll still be the sweetest little baby in town. »

Une porte claque. Ana sursaute, mais elle ne dit rien. Un doux sourire s’étire sur les lèvres. Elle dépose un léger baiser sur le front de l’enfant endormis et remonte avec tendresse ses couvertures, lui glissant dans les bras son doudou. Elle passe une main dans ses cheveux, ses yeux croisent son reflet. Une jeune femme brune aux cheveux longs qui sont lâchés, ses traits sont tirés, mais ses yeux brillent et sur ses lèvres reposent un sourire dont elle n’arrive pas se détacher. Un homme blond la rejoint et embrasse doucement ses cheveux.
« Alors ? Tu as réussi ce pari ? »


Dans le petit cimetière d’un couvent, une pierre tombale éternellement fleurit. Sur la stèle est marquée, Ici repose Ana Emilie Howard. Enfant de Dieu, espérons qu’elle est enfin découvert le bonheur au paradis. S’il seulement ils savaient, Ana n’est pas allée au paradis, elle était trop pècheresse pour cela, elle n’est pas allée non plus en enfer, elle n’avait pas envie que le jeu s’arrête. Ana, douce Ana, elle s’est enfermée dans ses illusions, puisque c’est seulement là qu’elle peut être heureuse.

chanson d'Ana :

RP 3 -

Belle au bois dormant qui se réveille dans un endroit maudit. Une voix d’homme lui répond, en un autre moment elle lui aurait sauté au cou, ne pouvant pas retenir sa joie enfantine de voir l’être qu’elle aimait. Mais ceci était en un autre moment. Une lueur terrifiée fugace glissa dans ses yeux pour s’éteindre par le souffle de l’hypocrisie dés qu’elle fut allumée par la raison. Elle essaya de sourire, mais échoua, lamentablement. Elle avait peur, c’était étrange, mais elle avait peur. Non ce n’était pas étrange, car elle savait qu’il venait de tout découvrir et qu’il allait lui faire payer son écart de chemin. Drogue, alcool et quelques fois prostitutions, jusqu’à où avait-il été mis au courant ? Elle sursauta quand il serra sa chevelure blonde, elle avait l’impression que tout recommencer. Elle attrapa les draps vigoureusement pour empêcher son corps de trembler. Pouvait-elle dire qu’elle n’avait pas eut le choix ? Que c’était le seul moyen pour elle de tenir ? Qu’on l’avait entrainé dans ce monde de couleurs sans qu’elle s’en rende compte ? Pouvait-elle dire tout simplement que c’était le seul moyen de lui échapper ? De fuir cette étreinte mortelle qui l’enserrait un peu plus chaque jour. Elle a peur, elle a peur la petite belle au bois dormant, le masque de l’amour s’est fissuré et brisé. Son jolie monde d’illusion est partit en éclat, maintenant elle n’a plus le choix, elle doit faire face à la réalité, elle doit faire face à ce monde d’adulte, ce monde de la magie, elle doit faire face à la vie. Elle a toujours essayé de les fuir, tout comme elle a fuit son frère, maintenant elle n’a plus le choix, elle doit y faire face.

« Que fais-tu là ? »

Un filet de voix qui s’échappe dans un souffle de ses lèvres. Elle sait très bien ce qu’il fait là et probablement qu’il sait, qu’elle le sait. Elle jette un regard apeuré en direction du bureau de l’infirmière. Non, il n’osera pas lui faire du mal ici, pas sous le regard intransigeant de l’infirmière. Et puis son regard se pose malgré elle sur son avant bras. Elle ne l’a vu que peu de fois, elle n’essai de ne pas poser le regard dessus, sur cette marque des ténèbres. Image terrifiante qui alimente en elle de sombres rêves. Si. Il osera. Rien ne peut l’arrêter, sauf lui, sauf son maître. Elle détourne le visage, elle veut l’oublier, mais l’image est incrustée dans ses pupilles. L’image de cette tête de mort, image prophétique. Ses mains se desserrent lentement des draps, elle a peur de cette mort et pourtant elle l’attend avec patience. Là bas plus personne ne pourra lui faire du mal, car elle sera trop loin d’eux. Et puis il sera là, lui. Il l’attend, elle le sait, de l’autre côté du voile. Non. Il est là. Elle ne sait pas. Elle ne sait plus. Tout est de sa faute, pourtant, elle l’aime.

« Tu as les traits tirés, tout va bien ? »

Question innocente pour l’empêcher de répondre à la première question. Elle se doute ce qu’il y a, elle a apprit à le connaître à force. Il a éprouvé de l’amour pour une femme, maintenant elle est morte. On ne parle plus que de ça, oubliant ses déboires à elle. Pendant quelques secondes elle se dit qu’il pourra maintenant l’aimer elle et uniquement elle comme il a aimé cette femme. Et puis elle se rappelle. Elle se rappelle qu’elle n’est qu’un jouet pour lui, un souvenir qu’il a ramené d’un voyage. Elle n’est même pas humaine à ses yeux, alors non, il ne peut pas éprouver de l’amour pour elle. Il ne peut rien éprouver. Simplement de la colère. Elle se réjouit pourtant secrètement de la mort de cette femme, elle la détestait, elle était son ennemie. Elle s’en veut pour cela, elle se dit que c’est mal de se réjouir de la mort d’une personne. Et puis après elle ne se dit plus rien. Elle se contente d’observer les draps blancs. Elle n’ose pas croiser le regard du mangemort. Elle a peur de son regard. Elle se dit qu’il va la dévorer. Alors elle baisse les yeux, espérant se faire oubliant. Idée stupide puisqu’elle est juste sous les yeux. Peut-être devrait-elle s’excuser, mais peut être n’est-ce pas pour cela qu’il est venu. Non, il est venu pour cela. Il faut qu’elle arrête de rêver.

Ses yeux vident suivent les cicatrices sur son bas cachés par le drap. Elles sont fines, on ne fait pas vraiment attention si on ne sait pas ce qu’elles sont là. Cependant pour elle, cela lui rappelle que d’autres malheurs vont bientôt arriver. Ce n’est pas de sa faute si elle est ainsi, ce sont les autres, tous les autres qui la pousse à devenir ainsi. Ils s’amusent à la détruire, comme autrefois, car ils la détestent, elle est peut être trop belle à leurs yeux, ou bien à une trop bonne situation. On commence à se poser des questions. On se demande si elle est bien la gentille petite fille sage qu’elle fait semblant d’être. Ses yeux se posent maintenant sur ses ongles, ils sont rongés pour la plupart. Cela faisait des années qu’elle avait abandonné cette mauvaise habitude et puis cela lui a repris. Le temps lui semble long trop long. Quand elle est nerveuse elle se mord la lèvre ou les ongles. Depuis quelques temps elle est de plus en plus nerveuse. Pourquoi ne dit-il rien ? Pourquoi ne fait-il rien ? Combien de temps sont passés ? Des heures ? A moins que ce soit que quelques secondes. Elle n’en sait rien. Elle a perdu à nouveau toute notion du temps. Elle regrette de ne pas avoir un laisser passer pour le pays des couleurs, quand elle s’y en va, tout va tellement mieux, elle ne sent plus rien et elle oublie tout.

Elle a peur, elle a terriblement peur la petite demoiselle aux yeux d’argent. Dommage qu’il n’y ait plus que le croquemitaine pour la consoler.

OS -

Quand on est attaqué par un loup garou, il y a quelques moyens simples pour s'enfuir. On peut se transplaner loin de lui, on peut tirer des balles en argent, il est aussi possible de lui jeter un sort sur la truffe ou bien lui envoyer une balle avec l'espoir qu'il aura le même réflexe que les chiens et il partira immédiatement courir après. Celles-ci sont les plus banales, les réponses que 90% des personnes interrogés sur la question : comment échappez vous à un loup garou ? Bien entendu, il y aura aussi des petits plaisantins, qui vous diront qu'il suffit de courir le plus vite possible ou bien de lancer un appel à l'aide ou même encore de faire comme les ourses ou les pumas et essayer de se grossir et de faire peur au loup garou… Il y a aussi les masochistes, qui vous diront de se laisser faire et qu'on trouve un certain plaisir dans la douleur, et y a ceux qui sont plus du côté sadochiste et qui sortiront le fouet. Après y a les positifs, ceux qui vous disent, avec un peu de chance, vous ne souffrirez pas trop ! Mais tout ceci n'est que sur le papier. Dans la réalité ce n'est absolument pas le cas, c'est vrai, car moi j'ai dû faire face à un loup garou. A un vrai.

Je ne sais pas comment a fait le petit chaperon rouge pour pouvoir parlementer avec un loup garou, mais quand je me retrouvai nez à nez avec un loup garou dans cette forêt je n'eus pas vraiment le temps de parlementer. De toute façon on avait le problème de la barrière de la langue, donc autant laisser tomber. La première chose qu'on doit faire face à un loup garou, c'est garder son calme, sauf que moi, la première chose que j'ai faite, et bien c'est courir. Pas de sortilège, ni l'idée de sortir ma baguette, la seule idée c'est de fuir, de courir. Quand l'homme doit sauver sa peau, il devient très con. Je me demande comment est-ce qu'il a pu survivre jusqu'à aujourd'hui. Donc non seulement je faisais régulièrement des câlins à cette charmante terre visqueuse et humide qui se plaisait à me laisser des petites traces d'elle sur le visage, mais en plus j'ai le droit à des petits souvenirs de racines et d'autres, qui firent que j'avais une cheville foulée, et des égratignures sur tout le corps. Ce fut à ce moment là que je pu faire cette fantastique découverte scientifique, que les loups garous étaient comme les requins et comme les requins, l'odeur du sang de les excitait. Bien entendu ce dernier se mit à courir de plus en plus vite et moi de plus en plus amochée, j'eus l'idée que j'étais une sorcière et peut être que je pourrais transplaner ! Oui, c'est une bonne idée. Le problème c'est que le transplanage c'est pas comme dans les bouquins. Ca ne se fait pas comme dans un claquement de doigt. Il faut être calme et concentrer. Et malheureusement, qu'on est poursuivit par un loup garou, on est tout sauf calme et concentré. Alors on avance de quelques mètres, on le distance un peu, mais pas beaucoup non plus. On est déjà bien heureux de ne pas avoir perdu un membre au passage. Et puis il y a ce moment où on se rend compte que cela ne sert plus à rien de fuir et qu'il faut faire face à notre poursuivant. Alors on cherche un endroit, une clairière, un cercle de champignons, je ne sais quoi, qui permettrait de combattre tranquillement. Cependant il faut comprendre une chose, ce qui se passe dans les romans, ce sont des conneries. Car si j'avais été dans un roman à ce moment une clairière ou je ne sais quoi serait apparu. Si j'étais dans un roman les secours auraient déjà fait leur apparition. Mais je ne suis pas dans un roman, je suis dans la putin de réalité. Et donc je me suis arrêtée entre deux grosses racines, baguette à la main, prête à faire face au loup garou.

Il est là, il se tient devant moi. Je fronce le nez devant son haleine, mais ce n'est probablement pas le bon moment pour lui proposer de la gum je suppose. A ce moment là je sors ma baguette normal, mais quel sort lancé ? Expelliarmus ? Non, pas de baguette. Un petit rictusempra ou un petrificus totalus ? Enfin moi je dirais plutôt un sortilège dont on aura la certitude qu'il va le toucher ! Et oui, les loups garous sont très vifs, les loups garous ca évite parfaitement les sortilèges, sans grande difficulté. Cependant on continue, on voit un éclair bleu le frôlait, la bête pousse un cri de douleur. Cependant elle ne se retranche pas. Alors on transplane quelques mètres plus loin, avant de jeter un nouveau sort. Mais cela ne sert pas à grand-chose, car cela ne fait que l'énerver un peu plus. Et chaque sortilège et bien c'est la même chose. On nous a bien apprit quelques sortilèges à Poudlard, mais cela ne sert pas à grand-chose, face à un vrai loup garou. La pratique c'est bien, mais quand vous voyait le loup garou vous enlevez votre baguette d'un coup de patte, risquant de vous arrachez la main au passage, on regrette de s'être endormi en cours de défense contre les forces du mal même si on se dit cela n'aurait pas apporté grand-chose. Dans un dernier accès de survie idiote on attrape un bout de bois et on le balance le plus loin de tout en espérant qu'il ne le retrouvera pas et qu'il fait partie de ces idiots de chiens qui ne ramènent jamais le bâton. Mais s'il y a une différence entre un chien et un loup garou, c'est que le loup garou détourne la tête pendant quelques secondes avant de se retourner vers sa victime.

On recule, maladroitement, on rampe plutôt sur le sol. Et puis on ferme les yeux. Le premier coup arrive. C'est une douleur sourde qui envahit le corps, le loup garou continue à frapper encore et encore. Ses griffes s'enfoncent dans la chair et arrache des bouts de chairs au passage, le sang coule, c'est chaud. La douleur est là, mais je n'ai plus conscience de ce que se passe. Ca brule là où ses griffes ont arraché ma chair, mais le reste de mon corps devient de plus en plus glacée. J'ai froid et je ferme les yeux. A travers les branchages j'aperçois de gros nuages couvrir la pleine lune. Ironique de la chose. Le loup garou perd sa bestialité. Je le reconnais. Il passe doucement ses doigts sur mon visage meurtrit. Il murmure des mots d'excuses. Et dépose des doux baisers sur ma peau, cela me réchauffe pendant quelques secondes. Ses baisers sont humides, ses larmes coulent sur mon visage. J'aimerai lui dire que ce n'est rien, mais mon souffle est en train de m'échapper. Je n'ai pas le temps de lui dire quelque chose, mes yeux se ferment tout seul. J'ouvre la bouche, rassemble mes dernières forces.

« - Je t'aime. »

Il me murmure, des non en continue, m'assurant que je ne vais pas mourir. Mais c'est déjà trop tard, je ne peux pas l'entendre. Je suis déjà sur le quai, les pieds barbotant dans le Styx, attendant que Charon vienne me chercher. S'il me demande comment peut-on échapper à un loup garou, je pourrais lui parler de toutes les belles techniques sur le papier. Je pourrais lui parler des sortilèges, du transplanage, des balles d'argent et bien d'autres. Cependant au final, il y a qu'un seul moyen d'échapper à un loup garou si on n'est pas dans un roman et cette façon est de se laisser mourir tout simplement. Car la vie ce n'est pas un roman.


pour finir.
comment as-tu fait pour atterrir ici ? ▽ Par un partenaire Smile
pourquoi t'es-tu inscrit(e) sur le forum & qu'en pense-tu ? ▽ Il m'arrive souvent d'écrire, mais j'ai dû mal à me faire lire et à avoir des commentaires. Cependant, mon vrai problème que je commence beaucoup de textes qui ne se terminent jamais, avoir une motivation m'aidera peut être.
decris nous ton rapport, & ce que tu pense, de l'écriture ▽ L'écriture c'est mettre un rêve, son âme sur du papier et de permettre à tous d'y accéder. Cela peut servir de catharsis ou de mise à distance par rapport à sa vie. Lorsqu'on écrit on est obligé de mettre un part de nous, sinon le texte est à la fois bancale et ennuyeux.
ton auteur favori ▽ Je suis en lettre moderne... Comment pouvez vous me posez cette question ? Je n'ai jamais su répondre à vrai dire. Des centaines auteurs méritent cette place à ses yeux. Aussi bien Jane Austen, que J.K. Rolwing, en passant par Patrick Graham, Gudule (en livre pour adulte), Sir Cédric, Perrault ou encore Laclos, Beckett. Non aucun aucun ne peut prendre cette place seul à mes yeux.
le dernier livre que tu as lu ▽ Alors pour la fac, les Diaboliques de Barbey d'Aurevilly et pour mon propre plaisir, Les brumes d'Avalon de Marion Zimmer Bradley. Je précise pour la fac, car je passe pratiquement tout mon temps libre à lire des livres pour la fac ^^ Je sais, c'est un comble pour une fille en fac de lettre moderne de ne pas pouvoir lire ce qu'elle veut !
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Aki

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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime17.01.12 10:53

Bienvenue ici What a Face
amuse toi bien parmi nous (a)
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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime17.01.12 11:02

WHOUAAAAAAAAAAAAA dragon *.* Merci choupette Smile
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Crystal-Ali'J

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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime17.01.12 17:54

bienvenue parmi nous. Une mademoiselle arrive :) 2124793060 tout est parfaitement rempli, je te valide. I love you amuse toi bien avec nous ! Une mademoiselle arrive :) 3145715902
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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime17.01.12 22:34

Merci beaucoup ♥
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Fidélice

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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime17.01.12 22:44

Bienvenue sur le forum! I love you
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jüw

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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime21.01.12 16:11

Capucine c'est ton vrai prénom ? Parce que j'adore Une mademoiselle arrive :) 2077153353
Bref, bienvenue parmi nous (a)
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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime21.01.12 16:49

Merciii ^^

Et oui c'est mon vrai prénom, mais on me dit que je n'ai pas une tête à m'appeler Capucine xD
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Lightning

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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime24.01.12 12:10

Bienvenue sur le forum Wink
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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime24.01.12 15:37

Merci bien ♥
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MessageSujet: Re: Une mademoiselle arrive :) Une mademoiselle arrive :) Icon_minitime

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