lina.
~ les hommes naissent égaux, mais dès le lendemain ils ne le sont plus.

pseudo, prénom ▽ j'aime pas tellement me compliquer la vie en me trouvant un pseudo super original et tout et tout. comme tout le monde m'appelle laetitia irl, mais que j'adore mon deuxième prénom lina, je l'utilise sur l'internet. voilà. donc en vrai moi c'est laetitia lina, mais appelez moi lina.
age ▽ vingt ans dans deux mois, ouais j'ai hâte un peu.
localisation ▽ genève, la suisse.
groupe désiré (ecrivain ou lecteur ?) ▽ écrivain, mais je suis venue pour des postes précis en fait: professeur et animateur.

tes écrits.

Citation :

J’inhale l’air frais. J’ai bien plus conscience de la beauté de la nature désormais. J’apprends à me délecter de tout ce que je vois et ce, pour une raison bien précise. Je me sens bien dehors. Je me sens bien mieux qu’à l’intérieur où je passe le plus clair de mon temps. Enfermé, c’est comme ça que je me sens. Mon coeur bat la chamade. J’ai peur. Peur de ce qui va se passer, peur de ce que je vais lui dire, de ce qu’elle va me dire. J’ai peur. C’est tout. Je ne saurais l’expliquer. J’ai pas envie de voir la réalité en face, j’ai pas envie d’accepter que tout est terminé. Ou bien, que si ce n’est pas encore le cas, tout sera terminé très bientôt.

Citation :

Je relève la tête et j'attrape entre mes mains son beau visage humide de mes conneries. Je pose mon regard dans le sien et j'essaye de lui dire le plus beau des «je t'aime», comme ça, avec les yeux. Puis, je m'approche lentement et je dépose mes lèvres sur les siennes. Tout doucement, tout délicatement. Nos bouches s'ouvrent très légèrement et nos langues s'emmêlent. Mon poux s'accélère et ma main droite trouve refuge dans ses cheveux. Mes larmes qui avaient cessé, doucement se remettent à couler. Tout simplement parce qu'encore une fois, je réalise à quel point elle m'avait manqué, à quel point c'était dur sans elle, et à quel point je ne veux plus jamais avoir à la quitter, à quel point j'aimerais faire d'elle mon éternité. Désir bien impossible malheureusment. À ce baiser fait place un deuxième, puis un troisième. Comme si, nos lèvres ne tenaient plus jamais à être séparer. Comme si, elles restaient accrochées l'une à l'autre comme un vieux timbre sur sa belle carte postale. Ces deux là ont parcouru des âges ensemble et ne peuvent parvenir à se lâcher. Mais peu à peu, elle comme moi nous rendons à l'évidence: la conversation n'est pas terminé et on ne peut se permettre de la laisser en suspens, rien que pour le plaisir de s'embrasser.

Citation :

Je suis assise, là, sur ce banc qui m’est fétiche. Devant cette pyramide de verre qui enferme le Louvre. Ô merveilleuse architecture que voilà devant moi. Je ne peux me lasser de cette vision, de cette oeuvre d’art commandité par les rois. Je m’en délecterai toujours. Et c’est toujours là que je vais, lorsque mon inspiration ne me mène pas ailleurs, lorsque je n’ai pas d’autres ressources. Et c’est aussi bien comme ça, parce que c’est à mes yeux, l’un des plus beaux lieux de Paris.

Citation :

J’ouvre la fenêtre, les bruits de rue envahissent mon appartement dans l’instant. Un petit deux pièces, au dernier étage d’un vieil immeuble typiquement parisien. J’ai la chance d’avoir un petit balconnet. Plutôt pratique pour fumer mes clopes. J’attrape mon cendrier, j’attrape mon porte cigarette - parce que je déteste l’odeur du tabac sur mes longs doigts de pianiste - et je m’assieds sur le béton glacé. Vêtue d’un unique petit pull gris, j’enfile un bonnet car je supporte très mal d’avoir froid aux oreilles. Et Paris, à cette époque de l’année, n’est pas des plus chaudes saisons. Mon paquet à moitié vide de « Parisiennes » - pour le cliché - traîne d’ailleurs sur le rebord, avec mon briquet à l’intérieur. Je l’actionne machinalement et je porte la clope à ma bouche. J’inspire, j’expire. Chaque bouffée de tabac me provoque un bonheur destructeur inavouable. Je sais que ça me détruit la santé, et c’est presque ça qui me plaît. Pas que je sois du genre sucidaire. C’est juste que, peut-être plus que n’importe qui, je suis consciente de notre mort à tous, imminente ou pas. À vrai dire, j’en ai pas grand chose à faire, de la manière dont la mort m’emportera, puisqu’elle le fera de toute façon et que je n’aurais pas mon mot à dire. Et c’est peut-être, la seule chose sur laquelle je n’aurais pas mon mot à dire.

parce que nous on veut en savoir plus...

Plutôt...
J.K Rowling ou Pierre Bottero ? ▽ JK, désolée mais harry potter c'est ce qui m'a appris à lire.
Arthur Rimbaud ou Victor Hugo ? ▽ avec la plus grande honnêté, je n'ai eu la chance de lire ni l'un ni l'autre pour le moment mais de ce que j'en sais, j'aurai tendance à préférer Hugo.
Emile Zola ou Honoré de Balzac ? ▽ emile zola
Molière ou Alfred de Musset ? ▽ le théâtre, j'aime pas tant que ça. enfin j'aime ionesco par exemple, mais le reste c'est pas trop ma came.
George Orwell ou Oscar Wilde ? ▽ george orwell
Anna Gavalda ou Amelie Nothomb ? ▽ je ne les ai pas lues.
Roman d'amour ou roman d'aventure ? ▽ ni l'un ni l'autre
Monde réel ou imaginaire ? ▽ réel.


~ Le nom de ton futur best-seller serait :
[ ] la fiancé du pianiste.
[ ] la destinée de l'assassin.
[x] le son du paradis.
[ ] l'itinéraire d'une héroïne.
[ ] le confident d'un dictateur.
[x] le pacte des songes.
(j'en écrirai deux )

~ tu écris plutôt...
[ ] des poèmes.
[ ] des/un roman(s).
[x] des nouvelles.
[ ] des fanfictions.
[ ] des pièces de théâtre.

pour finir.

comment as-tu fait pour atterrir ici ? ▽ merci bazzart
pourquoi t'es-tu inscrit(e) sur le forum ▽ pour aider à son développement, je trouve le principe super !
tes impressions ? ▽ très beau.
decris nous ton rapport, & ce que tu penses, de l'écriture ▽ pour moi, c'est essentiel, c'est vital. je ne peux passer un jour sans écrire. j'ai un besoin incroyable et incessant de m'exprimer et d'imposer au monde mes maux/mots.
ton auteur favori ▽ jules renard est actuellement mon dieu et son journal est ma bible.
le dernier livre que tu as lu ▽ la théorie des couleurs de kandinsky.