Audrenne
▽ messages. : 6▽ crédit. : CRIPSOW.▽ age. : 28▽ points. : 0Date d'inscription : 10/06/2013Localisation : PARIS.
Sujet: AUDRENNE ▽ le spleen. 10.06.13 11:41 audrenne. Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille ! pseudo, prénom ▽ audrenne. age ▽ seize ans. localisation ▽ paris. groupe désiré (ecrivain ou lecteur ?) ▽ écrivain. tes écrits. j'ai changé d'ordinateur il y a quelques mois, j'ai donc perdu tous mes textes (parce que ce n'était pas un gentil bug d'ordinateur qui me permettait de sauvegarder mes dossiers, mais l'apocalypse. Du genre : écran tout noir, écran tout bleu. Les seuls textes qui me restent sont mes RP, donc autant les poster Spoiler: " Tu aimes ? " Il s'appelait Dante. Les cheveux soigneusement gominés en arrière, une bague ornant son annulaire, il représentait tout ce que je haïssais : le luxe, la suffisance, la bêtise humaine. Embrassant la clope de mes lèvres cerise, je ne pris pas la peine de répondre. Nous avions partagé une partie de jambes en l'air dans les tréfonds du Red Lantern. Il m'avait murmuré des mots d'amour en latin, m'avait même appelée par le prénom de sa femme, Karen - sûrement une épouse banale, trop frigide pour offrir ses courbes à celui qu'elle faisait semblant d'aimer. Je n'avais pas tiqué. J'étais faite pour donner du plaisir aux hommes, pas pour les enfoncer. " Prynce ? " Les notes de sa voix balafrèrent mon cœur à vif. Battant des cils, je fis tomber les cendres de ma cigarette sur le comptoir en ébène. " J'adore. C'est sublime. Vraiment. " Discours appris par cœur, répété par un automate à l'âme bousillée. Mon mensonge le ravit et ses doigts étreignirent les miens, possessifs. Sa bague érafla ma peau blanche. Pas un mot. Je me contentais de lui offrir mon sourire mutin, comme pour l'inciter à continuer de creuser sa propre tombe. Il pensait m'avoir grâce à quelques verres et un peu d'argent. Malheureusement mon cœur ne s'achetait pas : il était déjà occupé par mes amants, ceux que j'avais choisis par envie et non par obligation. Sa bouche frôla mes phalanges et, taquine, sa langue en traça les courbes. La violence laboura mes flancs. Je voulais écraser son si joli nez de mon poing osseux, je n'en avais pas le droit. Je me dégageai de son étreinte. " Tout va bien ? " Sans un regard, je réajustai ma robe. Lorsqu'il était venu dans ma chambre, il l'avait déposée sur un fauteuil vide. Elle était en mousseline noire, le drapé mettant en valeur mes seins laiteux. Il l'avait choisie en pensant à moi, m'avait-il dit, charmeur. Il mentait. C'était la première fois qu'il me voyait. Mais, ne refusant jamais un cadeau, je l'avais prise et l'avait chaleureusement remercié. J'avalai une gorgée d'absinthe, l'alcool incendiant mes reins. Je manquai de m'étouffer. Une lueur amusée craquela les prunelles brunes de Dante alors que mes joues se fardaient de rose. " Que tu es belle ! Si tu n'étais qu'à moi, je t'aurais déjà enfermée dans une cage. " Ses doigts caressèrent ma pommette, la bile s'empara de ma gorge fiévreuse. Dans sa bouche, ces mots sonnaient comme une menace. Je n'appartenais à personne, surtout pas à lui. Oui, il avait déposé des baisers sur ma peau. Il avait pris possession de mon corps, ses mains s'étaient immiscées dans des recoins que seul le pêcher de chair connaissait. Mais jamais il n'avait été question d'un lien quelconque. Je ne le connaissais pas, il savait de moi que ce que je voulais bien lui montrer. Ni plus, ni moins. Les yeux brûlants, je vrillai mon verre de mon regard bleuté. Mon palpitant s'affolait dans sa cage rouillée. " On m'a souvent dit que je ressemblais à Ophélie. Qu'en pensez-vous ? " Ophélie, douce Ophélie, celle de Rimbaud. Ses traits avaient vu le jour sous le pinceau de Millais et son vécu déchiquetait mes entrailles. Jeune fille d'une beauté à en faire pâlir les Cieux, la vie s'était ôté de son visage blanc, l'eau abîmant ses voiles. Je doutais qu'il ait, ne serait-ce qu'une fois, vu le tableau dont je parlais. Son sourire d'où suintait l'orgueil me mit la puce à l'oreille. " C'est vrai. Toi aussi, tu sembles si morne. " Mauvaise réponse. Ophélie n'était pas morne, mais morte, son myocarde s'étant arrêté de battre lorsqu'elle avait posé le pied sur l'onde noire. Je lui rendis son sourire, vidai mon verre d'un trait. Idiot. Il pensait pouvoir m'impressionner, me séduire. Je croisai les jambes, les voilages de ma robe caressèrent ma peau nue. Dans le creux de mes seins était tapi un pendentif. La croix catholique, réplique miniature de celle qui décorait mes côtes. Je l'avais achetée à Londres, m'autorisant une folie. Au cœur du bijou était incrusté un saphir. Les pupilles de l'homme s'y posèrent, ses sourcils se froncèrent. " Je pense que... " Pause. Il releva la tête, surpris. Mon sourire se mua en un rictus insolent alors que, claquant des doigts, je commandai un nouveau verre. Quelque chose de moins chic que l'absinthe qui ciselait ma bouche pourpre. " Je pense que notre rendez-vous est fini. Il est minuit. Vous m'avez passé l'argent au Red Lantern, mais il est hors de question que je règle nos consommations. " Dante me fixa un long moment, muet. L'avais-je vexé ? Peut-être. Il se leva, enfila sa cape et, de ses doigts frais, attrapa ma main. Ses lèvres s'y posèrent. Baisemain. Je retins un rire lorsqu'il plongea ses orbes dans l'abîme des miens, une moue déçue se peignant sur ses traits narquois. " Ce fut un plaisir de te rencontrer. Où puis-je te revoir ? " " Tout le plaisir était pour moi. " le coupai-je, ignorant sa question. Ce fut dans un haussement d'épaules qu'il m'abandonna. Je ne pus m'empêcher de soupirer, soulagée. Je me frottai les bras dans l'espoir d'effacer son parfum, y plantai même mes ongles. La serveuse me dévisagea, interloquée. " Faîtes votre boulot. Vous êtes payée pour cela, non ? " Réplique crachée avec hargne, mes pupilles vrillant son visage tanné. Je n'avais pas le droit de lui parler ainsi, elle avait sans doute plus de valeur que moi. Elle ne me répondit pas, plantant un verre rempli à ras-bord devant mon odieuse petite personne. En guise de remerciement, elle eut droit à un sourire mesquin. Elle devait me prendre pour une fille à papa avec pour seul intérêt l'argent. Je m'en moquais. Un homme agita sa baguette et les notes d'un morceau de blues emplirent la pièce. On déploya les tentures de velours, on alluma de l'encens. Tant de beauté gâchée pour un repaire où se battaient prostituées et malfrats en tout genre. Je ne voulais pas en voir plus. De toute manière, j'allais bientôt devoir rentrer. Connaissant Lisbon, si je ne rentrais pas au cabaret avant la fermeture, elle risquait de s'inquiéter. Je me renfrognai. Depuis mon accident, on m'avait presque instauré un couvre-feu. Pour mon bien, me répétait-on. Foutaises : je n'avais pas besoin d'eux pour savoir ce qu'il fallait accepter ou non. J'avais dix-neuf et, malgré mon penchant pour le nectar du démon, j'avais encore tout mon cerveau. J'allumai une nouvelle cigarette, la dernière s'étant consumée lorsque Dante me faisait la conversation. Les glaçons tintèrent dans mon verre de vodka. J'en bus une gorgée, tirai une latte. Ce soir, j'allais tellement fumer que j'allais cracher mes deux poumons. J'allais boire jusqu'à m'immoler, jusqu'à vomir tripes et boyaux. Je ricanai. Les quelques clients du bar posèrent leurs rétines sur mon visage avant de détourner le regard, embarrassés. Nouvel éclat de rire. Puis plus rien. Les notes de ma colonne vertébrale agacèrent ma peau, un frisson se fraya un chemin dans ma moelle noircie. Il était là, je le savais. Je pouvais sentir son parfum, je pouvais entendre le bruit de ses pas. La peur fut rejointe par l'attente. Ensemble, elles gelèrent mon estomac. Craindre quelqu'un au point de deviner lorsqu'il entrait dans la pièce où nous nous trouvions déjà, refuser de s'en aller par simple fierté. Je vidai mon verre, écrasai ma clope à peine commencée sur le comptoir. Partir ou non ? Mon cerveau m'encourageait à le laisser derrière moi, mon cœur me soufflait de rester à ma place. Et, stupide, j'écoutai mon palpitant défectueux. " Bonsoir Justin. Comment vas-tu ? " Question posée d'un ton affable mais où l'on pouvait déceler une certaine pointe de sarcasme. Je posai mes mains sur mes genoux osseux. La bague que je portais au pouce étincela sous les néons. " Tu as l'air épuisé. Ce sont les françaises qui te fatiguent autant ? "
Spoiler: Flacon vert, flacon jaune, flacon rouge. Tous alignés sur ma table de chevet, à la manière de soldats de plombs. Trois pilules de chaque pour éviter que mon cerveau ne s’éteigne. Je jetai un coup d’œil aux étiquettes. Bien sûr, elles étaient vierges. Personne ne m’avait fourni ce traitement et si j’allais voir un médecin, il considérerait ça comme une dépendance. Je n’avalais pas ces médicaments pour m’empoisonner un peu plus. Si je le voulais, je pouvais arrêter à tout moment. Mais c’était ça, le problème : je ne trouvais aucune raison d’arrêter les cachetons. Ils étaient devenus l’épicentre de ma vie, un point peut-être bancal mais qui me permettait de ne pas me ronger les os. Ces sédatifs, c’étaient mon petit coup de pouce. Alignant les flacons sur ma table de chevet, je fixai le miroir. Mon reflet se crispa et, dégoûtée, j’enfilai mon manteau. Je ne savais pas pourquoi je m’étais rendue ici. Les gouttes de pluie glissaient le long de ma nuque, me faisant frissonner. À côté de mon flanc reposait une bouteille. Ivrogne, en plus. J’étais une droguée qui s’envoyait des rasades d’alcool pour oublier sa défaite. Le paysage tanguait, m’angoissait. Un coup de vent m’acheva. Les doigts transis, la peau glacée, je tentai de me relever sans aucun succès. Ma main s’agrippa à la pierre tombale et je réussis enfin à me hisser sur les fesses. Ma cape était maculée de boue. Je portai le goulot à ma bouche et avalai la vodka cul sec, persuadée que cela m’aiderait. Mais, au lieu de me remettre sur mes deux jambes, je m’enfonçais un peu plus dans les limbes de la défaite. On disait des nordiques qu’ils étaient incapables de boire jusqu’à être ivre. Je ne devais pas être russe, alors. Mon cœur battait la chamade entre mes côtes, mon gosier était gorgé d’un goût ferreux. Solomonia. Le prénom s’échappa d’entre mes lèvres, mon ricanement vrillant mes tympans. Neuf lettres qui avaient ouvert une plaie béante, qui avaient rempli mes poumons du jus de la mort. Cette fois, je hurlai son prénom. C’était un nouveau clou dans ma croix, un nouveau fardeau à entreposer dans la cage de mon palpitant. Même si ce n’était pas le genre de filles joviales et sympathiques, elle me manquait. Beaucoup, même. J’avais espéré que tout ceci n’était qu’une mauvaise blague. J’avais espéré si fort que, lorsque je fermais les yeux, je pensais qu’elle était toujours en vie, blottit dans les bras du château slave. Mais non. C’était la vérité. La vérité dans toute sa splendeur, celle qui tord les entrailles de chaque être humain. Alors, pour contrer les larmes, je me rendais au cimetière. Je faisais semblant qu’elle était là, devant moi, et qu’elle m’écoutait, un sourire arrogant courbant ses lèvres roses. Ça ne changeait rien : je finissais toujours par sangloter, poupée tailladée par la douleur d’une perte. Je bus encore, comme pour effacer ces souvenirs. Un nouveau frisson s’insinua dans ma nuque. Cette fois-ci, ce n’était pas à cause du froid. Je me retournai et essuyai mes joues, la mine revêche. La vision d’Ivanna, ma colocataire de dortoir, s’offrait à mes prunelles de glace. Que fichait-elle là ? Je baissai les yeux pour les poser sur mon tatouage, celui entre le pouce et l’index – je l’avais fait en France et avais demandé qu’il y écrive mon prénom. Puis je me relevai. Mes jambes tremblaient, je n’avais presque plus de force dans les bras. Je voyais en double. Deux Ivanna pour le prix d’une, quelle délicieuse surprise ! La bile me monta aux lèvres. « Tu n’as pas ta place ici. Tu n’as pas perdu d’êtres chers. Pars. » Même si ça n’avait été qu’un murmure narquois, on devinait que j’avais bu. Ma tête peinait à rester accrochée si bien que je m’appuyai contre une tombe, me moquant de qui était à l’intérieur. De toute manière, Solomonia n’avait pas eu de funérailles.
Spoiler: Neuf lettres, un prénom perdu entre mes lèvres glacées. Celui d’un être cher. Solomonia, victime de la guerre qui avait ébranlée le monde magique. Les jours s'étaient écoulés mais je ressentais toujours la même douleur. Peu à peu, j'étais rentrée dans la phase du déni. Je refusais sa mort comme on refusait de goûter un plat, me persuadant qu’elle ne pouvait tomber sous une pluie de sortilèges. C’était une fonceuse, une de celles qui ne se laissent pas faire. Fébrile, je m’attendais à ce que sa voix brise le silence de ma chambre et que son rire fasse résonner mes tympans, comme autrefois. Mais rien de tout cela n’arrivait. L’attachement n’était qu’une absurdité. J’avais cloué mes propres poignets à la croix mortuaire lorsque je lui avais souris, lui livrant ainsi ma confiance. Je jetai un coup d’œil à l’horloge. Il était minuit passé. Encore une insomnie. C’était devenu mon quotidien : je dormais très peu, des cernes se creusant sous mes prunelles de plomb, et étais incapable de tenir la journée, piquant du nez. Me levant, j’observai les petits flacons qui s’étalaient sur ma table de chevet et le paquet de cigarettes écrasé. Je sortis une clope, la calai entre mes lèvres puis levai un flacon au niveau de mes yeux, soudainement très intéressée par les pilules qu’il pouvait contenir. Un sédatif moldu plutôt léger, censé calmer les crises de stress. Haussant les épaules, j’en avalai trois et inspirai. La nicotine se logea dans mes poumons, les encrassa. J’expirai. « Ce soir, je ne dors pas Requiem. Pas ici, du moins. » La chouette me dévisagea de ses orbes dorés. Je lâchai un soupir, enfilai ma robe de sorcière et m’attachai les cheveux. Peut-être n’était-ce pas prudent de sortir à une heure aussi tardive mais, depuis mon voyage à Londres, je me moquais éperdument de ce qui était dangereux ou de ce qui ne l’était pas. Je rangeai soigneusement les sédatifs dans ma bourse en cuir alors que je fourrai ma baguette dans ma poche gauche sans y faire vraiment attention. J’écrasai mon mégot dans le cendrier puis, sans un regard en arrière, je partis de l’auberge. Les doigts transis, la bouche bleuâtre, je marchais sans savoir où aller. Si je me rendais dans un bar, j’avais des chances de rencontrer un homme capable de me faire oublier tous mes soucis contre quelques baisers. Mais je n’avais pas pour habitude de faire payer mes prestations en dehors du Red Lantern et, ce soir, je n’avais aucune envie que l’on me touche. D’un autre côté, rester dans le froid, seule, n’était pas une proposition des plus alléchantes. J’hésitais un long moment, assez pour fumer une deuxième fois. Ce fut le bar qui sortit vainqueur et je m'y dirigeai sans me presser, mes pensées toujours tournées vers Solomonia. J'étais trop sensible. Parfois j'avais juste envie de m'arracher le coeur pour ne plus rien ressentir. Mais un tel acte impliquait une mort lente et douloureuse. Très peu pour moi. Poussant la porte de la taverne, je me plantai au comptoir. La gérante me dévisagea sans que son visage n’exprime la moindre émotion et elle poussa un verre remplit de vodka devant moi, suivit aussitôt d’une corbeille de pain. « Manges. » m’intima-t-elle. Elle ne fut pas assez rapide. Je pus déceler une lueur de pitié au fond de ses prunelles d’argent. Honteuse, je baissai la tête et la remerciai du bout des lèvres. Mes doigts se mirent à réduire en charpie le pain sans que je n’en offre un morceau à ma bouche. « Manges ou je te mets un entonnoir dans la gorge et je te gave comme une oie. Vodka pure et ventre vide ne font pas très bon ménage, tu le sais. » Je souris sans omettre la moindre objection, acceptant enfin de me nourrir. Depuis mon retour de Londres, j’avais passé tant de temps ici que cette scène m’était devenue familière. Un courant d’air me força à relever la tête. Même si elles étaient cachée, je reconnaissais ces boucles. Mon cœur se serra.
parce que nous on veut en savoir plus... Plutôt ...J.K Rowling ou Pierre Bottero ? ▽ désolée mais J.K Rowling a bercé mon enfance et mon adolescence. Arthur Rimbaud ou Victor Hugo ? ▽ Arthur Rimbaud.Emile Zola ou Honoré de Balzac ? ▽ Honoré de Balzac.Molière ou Alfred de Musset ? ▽ Alfred de Musset.George Orwell ou Oscar Wilde ? ▽ Oscar Wilde.Anna Gavalda ou Amelie Nothomb ? ▽ Amelie Nothomb, nomdedieu. Roman d'amour ou roman d'aventure ? ▽ roman d'amour, vu que j'adore les bouquins qui parlent de sentiments.Monde réel ou imaginaire ? ▽ monde réel. ~ Le nom de ton futur best-seller serait : [ ] la fiancé du pianiste. [ ] la destinée de l'assassin. [▽] le son du paradis. [ ] l'itinéraire d'une héroïne. [ ] le confident d'un dictateur. [ ] le pacte des songes. ~ tu écris plutôt... [ ] des poèmes. [▽] des/un roman(s). [▽] des nouvelles. [ ] des fanfictions. [ ] des pièces de théâtre. pour finir. comment as-tu fait pour atterrir ici ? ▽ bazzart. pourquoi t'es-tu inscrit(e) sur le forum ▽ pour lire des petites perles et, peut-être, améliorer mon style. tes impressions ? ▽ forum très joli, épuré, avec des titres poétiques. Ce qui va parfaitement à un forum d'écriture. decris nous ton rapport, & ce que tu penses, de l'écriture ▽ j'aime écrire pour m'évader ou pour éviter d'angoisser. Tout le monde devrait écrire, pour soi ou pour les autres ! ton auteur favori ▽ Baudelaire, sors de ta tombe et épouse-moi. Je serai ta Jeanne. le dernier livre que tu as lu ▽ Acide sulfurique, d'Amelie Nothomb (étrange, dérangeant, mais bien écrit)