Code V.
▽ messages. : 4▽ crédit. : Sunlight (Bazzart)▽ points. : 0Date d'inscription : 30/09/2012
Sujet: Code V. débarque avec son nouveau pseudo :] 30.09.12 17:47 Code V. pseudo, prénom ▽ Julie age ▽ 19 ans. localisation ▽ Paris, la ville lumière. groupe désiré ▽ Lecteur acidue pour le moment :'). tes écrits. Spoiler: Un jour glacial d'hiver, près d'un lac gelé et sous le regard apaisant d'un manteau de neige, Emeraudia, fille d'Alya et Iann Balinski était née. Un bébé en parfaite santé venait au monde. Elle fût directement emmené dans l'aile du manoir qui lui fût réservé où une magnifique chambre aux couleurs de l'automne avait été préparée à son attention. Dans cette même aile, une salle de bain royale se dressait, faite de carreaux blancs et de poignée d'or, elle n'attendait que l'eau chaude qui pouvait couler à flot. Une piscine creusée à même le sol était surmontée d'une cascade de robinets qui déversaient de multiples parfums et artifices pour égayer un bain classique. Plus loin, une autre salle, celle que préférera Emeraudia, avait été construite: une bibliothèque emplie de romans d'époque et d'aujourd'hui, de manuels d'histoire d'ici et d'ailleurs. La brune y passera des heures dès lors qu'elle saura lire. Sa chambre était emménagée de telle sorte qu'elle n'eût jamais besoin de sortir: les elfes de maison étaient chargés d'allumer la cheminée et de faire les draps tandis que les précepteurs de la jeune fille s'attardaient à lui enseigner la harpe ou la danse. A l'âge de 12 ans, elle intégra Durmstrang, l'école de magie nationale russe où elle fit ses premiers pas dans la magie. Elle était excellente et inspirait le respect des autres, malgré tout, elle y avait beaucoup d'amis. Ses parents lui donnèrent des principes et des valeurs mais bientôt, la jeune femme se rendra compte que son avis diffère largement de celui de ses parents, qu'elle ne pourra bientôt plus vivre sous le cocon protecteur qu'ils lui avaient construit. Arriva l'année où Lord Voldemort revint d'entre les morts, hantant les rues, détruisant les rêves. C'est vers la mort que ses parents se sont tournés, vers le désespoir et la souffrance, entraînant Emeraudia avec eux. Au milieu de l'année, comme une étrangère venue leur apporter la misère, elle intégra Poudlard. Le choixpeau après avoir hésité un long moment entre le griffon et le serpent a opté pour Serpentard pour la jeune femme. Elle y avait sa place, comme si ça avait toujours été ainsi. - Tu jures? Oui je le jure. Je jure que je t'aimerai à jamais, pour toujours. Tu es celle qui hante mes rêves depuis le premier regard posé sur toi. Je me souviens le moment exact de notre rencontre. Tu avais décidé de faire une promenade au bord du lac, comme à tes habitudes. Pour une fois, moi, j'étais là. Tu avais cette jolie robe jaune qui mettait si bien tes cheveux en valeur. Tu venais d'être transférée de Durmstrang, l'école de magie de Russie. On disait beaucoup de choses de toi avant ton arrivée: à quel point tu étais hautaine, comme tes mots sonnaient faux, comme ton accent état disgracieux. On disait que tu faisais peur avec ta mine, que tes études te prenaient trop de temps et que tes cheveux étaient éternellement gras mais on vantait ta beauté étrangère et ta douceur, on disait que tu étais mystérieuse. J'ai pu découvrir une facette de toi exclusive, celle que les autres ne verront pas. Les mots qui circulaient sur toi étaient tous faux à l'exception des qualités, c'est ce que je pensa dès la première fois. Tu étais envoûtante, d'une présence inégalable, dans tes yeux brûlaient une flamme pleine de vie, je ne l'avais vue nul part ailleurs. Nos regards se sont croisés un instant, un instant qui m'a paru infini tant j'ai eu peur de me perdre dans tes yeux. Un jour ils causeront ma perte mais ils en valent la chandelle. Ce jour on était resté là à bavarder pendant que les strangulots vivaient sous la surface du lac, à propos de ta vie en russie, de tes études, de mes loisirs. De tout, de rien. Tu es une femme extraordinaire, le genre qui est sûre d'elle sans être hautaine, le genre qui sait garder des secrets mais qui n'est pas réservée. Mais j'ai découvert que tu étais une femme qui ne se laissait pas marcher sur les pieds, je n'avais et je n'aurai jamais le dernier mot avec toi, tu étais aussi impulsive que têtue mais j'aimais ta façon de me contredire. J'aimais tes grands airs et tes explications farfelues. Alors oui, pour toujours. Il avait dit qu'il sera toujours là pour moi. Il a menti. Il est parti comme il est venu. Maintenant tout est différent, rien ne sera plus pareil. Seule face au monde. Voilà ce qu'elle éprouvait au fond de ses draps de soie. Cachée derrière un moustiquaire rouge translucide, les larmes coulaient sans s'arrêter de ses yeux. Elle renvoyait l'image d'une jeune fille trop gâtée par ses parents mais elle ne l'était pas. Elle n'avait jamais voulu cette vie, cet argent, ce prestige que d'être né de sang-pur. Elle aurai pu être ailleurs, pauvre, moldue qu'elle aurai été aussi satisfaite. Mais la vie en avait décidé autrement et aujourd'hui, elle se força à rester digne face aux monstres qui lui servaient de parents. Elle n'avait qu'une envie: leur cracher à la face ce qu'ils lui avaient fait. Elle rêvait de vengeance et de revanche, l'air était empli d'un parfum de scepticisme et de regrets. Elle était méfiante envers tout et tout le monde. Cette rentrée allait être éprouvante, cette année, cette vie allait être éprouvante mais elle voulait vivre. Vivre à cent à l'heure, dépasser ses limites, vivre pour deux. Elle voulait vivre pour lui. Aujourd'hui, cachée derrière un masque qui ne lui ressemblait pas, Emeraudia était aussi loin que possible de ce qu'elle avait été. Plus forte, plus enflammée, son caractère était plus impulsif mais elle avait appris à se maîtriser. Elle voulait que le monde change, elle voulait prendre part à ce changement. Elle ne se doutait pas que le cauchemar ne faisait que commencer.
(Le changement de personne au deuxième paragraphe est fait exprès, en fait ils sont séparés d'une image à chaque fois et j'aime bien exploiter des trucs différents xD)Spoiler: Il est parfois difficile de comprendre les personnes qui nous sont extérieures, on ne comprend pas pourquoi ils s'obstinent à leur égoïsme ou à leur vanité, on ne sait pas pourquoi leurs gestes sont si hautains et pourquoi ils sont si jaloux. Mais il arrive parfois qu'on comprend leur colère, leur méprise, parfois on a l'impression de les connaître alors qu'on en est loin. On se demande si ce qu'on nous dit est vrai, si on peut faire confiance à cet inconnu. Mais parfois c'est nous même qu'on ne connaît, on ne comprend plus pourquoi cette envie nous a quitté aussi soudainement qu'elle est apparue, pourquoi on a dit ces mots qu'on ne pensait pas, comment on a pu agir d'une certaine manière. Parfois on se perd en cherchant trop loin qui nous sommes alors que les faits sont justes devant nos yeux. Serafima se pose ce genre de question, sur elle-même, sur les autres. Elle voit les gens, elle les dévisage sans le cacher. Souvent on lui adresse un regard méprisant parce qu'on la croit étrange, parfois on la dévisage en retour pour savoir ce qu'elle veut. Elle, elle observe. Elle aime connaître les gens qui l'entourent même si elle ne leur parle pas. C'est elle la fille qu'on surprend à lancer des regards mystérieux que ce soit à un garçon ou une fille, c'est elle qu'on croit connaître mais en réalité elle nous surprend un peu plus chaque jour. Il est difficile de la cerner et souvent elle ne se comprend pas mieux que les autres. Elle reste parfois dans son coin en rêvant mais toujours avec cet air dont elle a le secret. Dans ses yeux, il y a toujours cette lueur, cette flamme douce qui a toujours l'air de comprendre les autres, de compatir. Mais parfois dans ces mêmes prunelles brule un feu ardent. On la voit quand la brune est en duel d'escrime et malgré ce masque, on peut toujours deviner une flamme, cette fois vive et fougueuse. Lorsque Serafima sort de sa rêverie, son tout change, elle est alors animée d'une énergie débordante qu'on ne comprend pas toujours, qu'on a parfois du mal à supporter. Serafima est toujours souriante, amicale quand on s'adresse à elle mais elle monte vite sur ses grands chevaux. Avec une toute petite remarque on peut s'attirer sa colère. Quelques personnes en ont fait l'expérience: des objets se mettent à brûler instantanément, comme si son corps ne suffisait plus à contenir l'incendie qui se propage en elle. Ses amis ont prouvé que l'ardente Radgentis pouvait leur faire confiance alors en retour, elle leur est entièrement loyale, presque aveuglement. Mais ces mêmes amis doivent savoir comment supporter le caractère polaire de Serafima, il leur faut apprendre à supporter son ton catégorique, ses crises de colères comme de joie, sa franchise parfois blessante et ses actions souvent irréfléchies. Au final, Serafima est une personne difficile à apprivoiser mais une fois qu'on la connait, on sait qu'elle peut être très sociable: elle garde toujours le sourire et ne lâche jamais sa joie de vivre, même à travers les pires épreuves que la vie lui impose.
Spoiler: « Laureen ? La poussière se tasse dans la bibliothèque, et si tu allais y faire un tour ? Ensuite il y aura les courses pour le fastfood et puis le sol à cirer. N’oublies pas de faire le ménage chez moi quand tu auras terminé ! » Ce sont les mots qui rythment les journées de la jeune femme : des ordres, encore et toujours. Inlassablement, cette femme animait sa vie jour et nuit : sa démoniaque patronne. Pourquoi elle se laisse faire ? Elle a besoin de l’argent pour se payer l’université, sans ça, elle ne pourrait jamais terminer ses études et obtenir un diplôme. Au moment où Laureen a croisé le chemin de sa, croyait-elle, bienfaitrice, elle lui avait confié son rêve d’être diplômée en droit et de partir loin de Boston, quelque part où la vie lui sourirait enfin, où ses rêves deviendraient réalité. Elle n’aurait jamais cru que la femme en qui elle plaçait sa confiance était en réalité une personne bien plus égoïste et opportuniste. Quoiqu’il en soit, ce jour-là, après avoir fait les courses pour le restaurant de la dame, elle se dirigea à la luxueuse maison dont le ménage était à sa charge. Elle se dirigeât vers la seule chambre qu’elle n’avait pas encore nettoyée cette semaine et y découvrit avec joie une mine de livres anciens, certes, qui ne devaient jamais avoir été lus par cette bonne femme ou par ses deux filles mais qui restaient magnifiques. Elle dépoussiéra les reliures tout en jetant des coups d’œil aux titres ainsi qu’aux auteurs : on y trouvait Victor Hugo tout comme Voltaire ou Jules Vernes ! Laureen était aux anges, elle aimait beaucoup lire et voir toutes ces premières éditions la plongeait dans le bonheur. Elle parcourait les multiples étagères en chassant la poussière à coup de Swifer et tomba sur un de ses livres préférés : un recueil de conte. Il n’était ni daté, ni signé, il n’y avait pas le sceau de l’éditeur, simplement sur la couverture : Il était une fois… Le titre à lui seul faisait rêver alors doucement, Laureen prit le livre entre ses mains, s’assit et le posa sur ses genoux. Elle l’ouvrit au hasard et tomba sur son histoire favorite : Cendrillon. L’histoire était tellement irréelle mais tellement… réelle à la fois. Il était une fois… Ouvres les yeux, tu te trouves dans un pays magique où tout peut devenir réalité et où ton histoire finirait enfin par « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. » Tout est familier : les briques ternes les marches grinçantes des escaliers, le grenier poussiéreux, les arbres de la forêt. Même les animaux semblent être des amis. Tu vois furtivement trois femmes de dos, montant dans un somptueux carrosse, partant pour un bal organisé par la royauté. Tu es à l’écart et sais que malgré ton envie tu ne pourras les rejoindre, que malgré tes préparations, ce n’était pas assez pour être parmi eux. Alors tu fais la seule chose qu’il te reste à faire : tu pleures. Tu pleures des larmes de cristal, vraies et authentiques, tu pleures ta détresse et ton malheur. Tu penses que ta chance est passée quand soudain, une lumière apparait. Tu reconnais la bonne femme qui entre, brillant de mille feux, arrivant comme par magie. Une petite demi-heure plus tard, le sourire aux lèvres, tu te diriges vers le fameux bal dans la plus belle robe que tu n’aies jamais vu et une paire d’escarpins de verres aux pieds. Tu crois ne jamais t’être sentie mieux et c’est à ce moment que tu découvres un homme, le plus bel homme qui existe. Sous le charme vous dansez toute la nuit. Le monde n’existe plus et comme dans tes rêves, il ne reste plus que lui et toi, dans votre univers fait de beauté. Puis l’horloge se fait entendre, il te fait descendre de tes rêves et t’arraches à l’émerveillement que tu éprouvais dans ses bras. Tu t’en vas en courant, de nouveau, des larmes s’échappent de tes yeux mais ce sont des larmes de bonheur. Tu sais que quelques jours plus tard, tu seras mariée et tu auras trouvé ta fin heureuse : ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Des bruits de pas lourds enlevèrent Laureen de sa rêverie. Elle n’avait pas encore terminé le ménage et c’était sans doute les ignobles jumelles qui rentraient de leur cours de danse moderne. Elle se dépêcha de remettre le livre à sa place et continua à nettoyer la pièce de fond en comble mais en gardant à l’esprit ce rêve idyllique auquel elle était prête à croire.
pour finir. comment as-tu fait pour atterrir ici ? ▽ Je viens de la pub sur Bazzart pourquoi t'es-tu inscrit(e) sur le forum & qu'en pense-tu ? ▽ Je me suis inscrite parce que j'adore l'écriture et la lecture *-* Puis je trouve qu'il est vraiment bien mais il manque du monde pour étoffer vos belles catégories decris nous ton rapport, & ce que tu pense, de l'écriture ▽ Je ne fais que du rp et chaque personnage que je joue me donne l'opportunité d'être quelqu'un d'autre parce que dans la vie je suis assez indécise, le RP me permet d'être tout à la fois. C'est une sorte d’échappatoire ton auteur favori ▽ Celui qui me surprend le plus est indégnablement Musso, j'adore ses fin tragiques, inimaginable, c'est dingue x) Celle que j'admire le plus est J. K. Rowling parce qu'elle a bercé mon enfance d'un nouveau monde, un monde merveilleux je dois dire XD Celui qui me rend le plus addict: sans hésitation le grand Dan Brown, Seiiigneur je peux pas lâcher ses livres quand je les commence! Il y en a plein d'autre: Nicholas Sparks dont les histoires d'amour font rêver, le très, très regretté Pierre Bottero dont j'ai adoré Ellana , Christopher Paolini qui a inventé une dimension extragéniale, Lauren Ollivier avec sa trilogie Delirium , Ally Condie avec les géniaux Matched et Crossed (désolée pour l'anglais, je les ai lu en VO ceux là x) puis la sublime saga Twilight de Stephenie Meyer, malgré tout le "Edwaaaaaard!" dessus, j'adore toujours. le dernier livre que tu as lu ▽ Anges et Démons de Dan Brown qui me trotte encore dans la tête puisque je n'ai pas trouvé la signification du titre xD
Dernière édition par Code V. le 30.09.12 18:05, édité 1 fois